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Puis elle s'est brisée et quatre cornes ont poussé à sa place : celles-ci représentent quatre royaumes issus de cette nation, qui, cependant, n'auront pas la même puissance.
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Il deviendra l'ancêtre d'une grande et puissante nation et une source de bénédictions pour tous les peuples de la terre.
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Craignez donc qu'il ne vous vomisse, vous aussi, si vous le souillez, comme il va vomir la nation qui vous a précédés.
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mais que cette nation fait ce que je considère comme mal, et ne m'écoute pas, je renoncerai au bien que j'avais parlé de lui faire.
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« Voici ce que déclare l'Eternel : Un peuple va venir de la contrée du nord, une grande nation qui se met en campagne des confins de la terre.
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Et quelle est la grande nation qui a des commandements et des lois aussi justes que toute cette Loi que je vous donne aujourd'hui ?
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Etienne dit alors : Chers frères et pères de cette nation, écoutez-moi : le Dieu glorieux apparut jadis à notre ancêtre Abraham, quand il vivait encore en Mésopotamie, avant de s'établir à Harân,
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Est-ce que je suis juif, moi ? répliqua Pilate. Ce sont ceux de ta nation et les chefs des prêtres qui t'ont livré à moi. Qu'as-tu fait ?
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Telle est la décision que l'Eternel a prise contre la terre entière, et telle est la menace qu'il adresse à toute nation.
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Le plus petit d'entre eux deviendra un millier, le plus insignifiant, une nation puissante. C'est moi, moi l'Eternel, qui hâterai en leur temps, ces événements. »
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Voici ce que déclare l'Eternel, le Dieu des armées célestes : « O communauté d'Israël, je susciterai contre vous une nation qui vous opprimera depuis Lebo-Hamath et jusqu'au torrent de la Araba. »
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Comment peut-on ainsi se conduire envers lui, nation folle, insensée ! N'est-il pas votre père et votre créateur, celui qui vous a faits, qui vous a établis ?
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« Prête-moi attention, mon peuple ! Vous, ma nation, tendez vers moi l'oreille, car je promulguerai la Loi, et je proclamerai mon droit pour éclairer les peuples.
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Voici ce que déclare le Seigneur des armées célestes : Un malheur se propage d'une nation à l'autre ; des confins de la terre, un terrible ouragan se lève. »
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si nous le laissons faire de la sorte, tout le monde va croire en lui. Alors les Romains viendront et détruiront notre Temple et notre nation.
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Ensuite je vis un autre ange volant au zénith. Il avait une Bonne Nouvelle éternelle à annoncer à tous les habitants de la terre, à toute nation, toute tribu, toute langue et tout peuple.
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Il lancera contre vous, depuis les confins du monde, une nation lointaine dont vous ne comprendrez pas la langue, elle fondra sur vous comme un aigle sur sa proie.
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Nos yeux se consument encore à implorer de l'aide, mais c'est en vain. De nos postes de guet nous attendions une nation qui ne nous a pas secourus.
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Pourquoi devriez-vous mourir, toi et ton peuple, par l'épée, la famine et la peste, comme l'Eternel en menace la nation qui ne se soumettra pas au roi de Babylone ?
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Mais, ajouta Dieu, j'exécuterai mon jugement contre la nation qui en aura fait ses esclaves. Après cela, ils quitteront le pays étranger et viendront ici-même, dans ce pays, pour me rendre un culte.