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et je ferai d'eux une seule nation dans le pays, sur les montagnes d'Israël. Un roi unique régnera sur eux tous, ils ne formeront plus deux nations et ne seront plus divisés en deux royaumes.
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Et Dieu lui dit : Je suis le Dieu tout-puissant. Sois fécond et aie de nombreux descendants ; une nation, et même tout un ensemble de peuples seront issus de toi. Tu auras pour descendants des rois.
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Mais vous, vous êtes une race élue, une communauté de rois-prêtres, une nation sainte, un peuple que Dieu a libéré pour que vous célébriez bien haut les oeuvres merveilleuses de celui qui vous a appelés à passer des ténèbres à son admirable lumière.
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Je demande alors : Le peuple d'Israël ne l'a-t-il pas su ? Moïse a été le premier à le leur dire : Je vous rendrai jaloux de ceux qui ne sont pas un peuple. Je vous irriterai par une nation dépourvue d'intelligence.
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L'Eternel vous exilera avec le roi que vous aurez établi sur vous chez une nation que ni vous, ni vos ancêtres n'auront connue ; et là, vous serez asservis à d'autres dieux qui ne sont que du bois et de la pierre.
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Qui donc a entendu rien de pareil, et qui a jamais vu rien de semblable ? Un pays peut-il naître en un seul jour ? Ou peut-on enfanter une nation en un instant ? Or, à peine en travail Sion a mis des fils au monde !
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Le peuple traversa à la hauteur de Jéricho. Les prêtres qui portaient le coffre de l'alliance de l'Eternel s'arrêtèrent dans le lit desséché, au milieu du Jourdain, pendant que tout Israël passait à pied sec. Ils s'y tinrent fermement jusqu'à ce que toute la nation eût achevé la traversée.
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C'est pourquoi l'Eternel déclare : « Contre cette nation je projette un malheur : il sera comme un joug dont vous ne pourrez plus vous dégager le cou. Vous ne marcherez plus la tête haute, car ce temps qui arrive est un temps de malheur.
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En ce qui concerne Ismaël, j'ai aussi entendu ta prière en sa faveur. Oui, je le bénirai. Je lui donnerai aussi de très nombreux descendants : je le multiplierai à l'extrême. Douze princes seront issus de lui et je ferai de lui l'ancêtre d'une grande nation.
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Aussi vrai que l'Eternel est vivant, je t'assure qu'il n'y a pas une nation ni un royaume où mon maître ne t'ait pas fait chercher ; et quand les représentants de ces pays disaient que tu n'étais pas chez eux, il les faisait jurer qu'on ne t'avait pas trouvé.
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Après cela, je vis une foule immense, que nul ne pouvait dénombrer. C'étaient des gens de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, de toute langue. Ils se tenaient debout devant le trône et devant l'Agneau, vêtus de tuniques blanches et ils avaient à la main des branches de palmiers.
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Alors Aggée reprit et dit : Ainsi en est-il de ce peuple. Voilà ce qu'est cette nation à mes yeux l'Eternel le déclare. Ainsi en est-il aussi de toutes leurs réalisations et de tout ce qu'ils m'offrent là : c'est impur.
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Y-a-t-il une seule nation sur terre qui soit comme Israël ton peuple, que Dieu soit allé libérer pour en faire son peuple ? Ainsi tu t'es rendu célèbre en accomplissant des choses grandes et redoutables pour chasser des nations devant ton peuple que tu as libéré de l'Egypte.
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Dieu répondit : Je vais conclure une alliance avec vous. En présence de tout ton peuple, je ferai des prodiges tels qu'il ne s'en est jamais produit sur la terre entière ni chez aucune nation, et tout le peuple qui t'entoure verra combien est impressionnante l'oeuvre de l'Eternel que j'accomplis par ton intermédiaire.
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Et le soleil s'arrêta, la lune suspendit son cours jusqu'à ce que la nation d'Israël eût réglé ses comptes avec ses ennemis. C'est bien ce qui est écrit dans le livre du Juste. Le soleil s'immobilisa au milieu du ciel et différa son coucher pendant environ un jour entier.
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Aussi vrai que je vis, déclare l'Eternel, le Seigneur des armées célestes, Dieu d'Israël : Moab sera comme Sodome, les Ammonites seront comme Gomorrhe, leur pays deviendra un lieu couvert d'orties, une mine de sel, et une terre dévastée à perpétuité. Le reste de mon peuple les pillera, oui, ce qui restera de ma nation en prendra possession. »
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Maintenant, ne vous laissez donc pas tromper par Ezéchias et qu'il ne vous abuse pas de cette manière ! Ne vous fiez pas à lui ! Car aucun dieu d'aucune nation ni d'aucun royaume n'a pu délivrer son peuple de moi-même, ou de mes ancêtres. Et vos dieux ne vous délivreront pas davantage de mon emprise !
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Voici donc ce que je décrète : Tout homme de quelque peuple, nation ou langue qu'il soit qui parlera d'une manière irrespectueuse du Dieu de Chadrak, de Méchak et d'Abed-Nego sera mis en pièces et sa maison sera réduite en un tas de décombres, parce qu'il n'existe pas d'autre Dieu qui puisse sauver ainsi les hommes.
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Ils m'ont rendu jaloux par ce qui n'est pas Dieu et ils m'ont irrité par des divinités qui ne sont pas des dieux. Eh bien, de mon côté, je les rendrai jaloux de ceux qui ne sont pas un peuple. Je les irriterai par une nation folle.
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Or, c'est la nation d'Israël qui est la vigne de l'Eternel, du Seigneur des armées célestes. Le plant qui faisait ses délices ce sont les habitants du pays de Juda. Il attendait d'eux la droiture, et ce n'est qu'injustice ; il attendait d'eux la justice, et ce sont des cris de détresse.