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Il faudrait que ces lois soient supprimées par devant moi, déclare l'Eternel, pour que la descendance d'Israël cesse aussi pour toujours d'être une nation devant moi.
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Lors de mon passage à Jérusalem, les chefs des prêtres et les responsables de la nation juive sont venus porter plainte contre lui et ils m'ont demandé de le condamner.
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Vous ne voyez pas qu'il est de notre intérêt qu'un seul homme meure pour le peuple, pour que la nation ne disparaisse pas tout entière ?
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Alors tu leur diras : Vous êtes une nation qui n'a pas obéi à l'Eternel son Dieu et qui n'a pas voulu accepter sa leçon. La vérité n'est plus, elle a été retirée de leur bouche.
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Des éclairs jaillissaient au milieu de la grêle et la grêle était si violente qu'il n'y en avait jamais eu de semblable dans toute l'Egypte depuis que la nation existe.
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Il lui fut même permis de faire la guerre à ceux qui appartiennent à Dieu et de les vaincre. Elle reçut autorité sur tout peuple, toute tribu, toute langue et toute nation.
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Ce sont leurs descendants qui ont peuplé les îles et les régions côtières. Ils se sont répartis par pays selon la langue et par tribus dans chaque nation.
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Malheur à toi, nation coupable, peuple chargé de crimes, race de malfaiteurs et enfants corrompus ! Vous avez abandonné l'Eternel, méprisé le Saint d'Israël, vous lui avez tourné le dos.
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Où est, en effet, la nation, même parmi les plus grandes, qui a des dieux aussi proches d'elle que l'Eternel notre Dieu l'est pour nous toutes les fois que nous l'invoquons ?
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Tu as multiplié la nation, Eternel, tu l'as multipliée, tu as montré ta gloire, tu as fait reculer les confins du pays sur toutes les frontières.
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N'as-tu pas entendu ce que ce peuple dit : « Les deux familles que l'Eternel avait choisies, il les a rejetées » ? Ainsi ils méprisent mon peuple qui, à leurs yeux, n'est plus une nation.
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Eh bien ! si réellement j'ai obtenu ta faveur, veuille me révéler tes intentions et fais-toi connaître à moi. Alors j'aurai vraiment ta faveur. Et puis, considère aussi que cette nation-là, c'est ton peuple !
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Des gens de tout peuple, de toute tribu, de toute langue et de toute nation regarderont leurs cadavres pendant trois jours et demi et s'opposeront à leur ensevelissement.
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Mais la nation qui acceptera le joug du roi de Babylone et se soumettra à lui, je la laisserai tranquille dans son pays, pour le cultiver et pour y demeurer l'Eternel le déclare.
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Obéissez-y et appliquez-les, c'est là ce qui vous rendra sages et intelligents aux yeux des peuples : ils en entendront parler et ils s'écrieront : « Il n'y a qu'un peuple sage et avisé, c'est cette grande nation ! »
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Laisse-moi faire : je vais les détruire et j'effacerai tout souvenir d'eux de dessous le ciel, mais je ferai de toi le père d'une nation plus puissante et plus nombreuse que celle-ci. »
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Je ferai de toi l'ancêtre d'une grande nation ; je te bénirai, je ferai de toi un homme important et tu deviendras une source de bénédiction pour d'autres.
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Sur un signe du gouverneur, Paul prit à son tour la parole : Je sais, dit-il, que depuis plusieurs années tu exerces la justice sur notre nation. C'est donc en toute confiance que je viens te présenter ma défense.
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Je l'enverrai pour attaquer une nation impie, je vais lui donner la mission de rafler le butin d'un peuple qui déchaîne ma fureur, de le mettre au pillage, et de le piétiner comme la boue des rues.
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Je ne te ferai plus entendre les propos injurieux des autres nations, tu ne seras plus chargé d'opprobre par les peuples, et tu ne feras plus trébucher ta nation. C'est là ce que déclare le Seigneur, l'Eternel. »