Témoignage d'un policier

Je suis policier depuis 1976. Quand je me suis marié, c'était pour vivre avec ma femme, être entouré, rempli d'affection. Je voulais être le centre de sa vie.

Cela a bien été jusqu'au premier enfant. A partir de ce moment, mon épouse avait beaucoup plus de temps pour l'enfant que pour moi. Je me suis dit au départ que c'était normal et que je devais prendre mon mal en patience. Après 22 mois, nous avons eu des jumelles... Encore une fois, mon épouse avait encore moins de temps à me consacrer; je partageais les tâches avec elle, mais après ça, elle était morte de fatigue, ce qui est normal, et moi j'étais frustré qu'elle ne me consacre pas aussi un peu de son temps... c'était mon épouse après tout. J'ai donc patienté encore quelque temps. Dans la maison, la routine s'était installé, les enfants en premier, elle, et moi en dernier. Après huit ans de mariage, je me suis découragé  et j'ai pris la décision de penser À MOI!

A partir de ce moment, je me refusais rien. Les sorties, la boisson, la drogue, etc.. J'ai fonctionné de cette façon durant quelques années. Vers la fin de ces années, j'avais des idées suicidaires. Mon épouse ayant peur avait caché l'arme que je lui avais achetée pour sa sécurité, car je travaillais souvent de nuit. J'avais installé une mauvaise ambiance dans la maison. Mon épouse voyait bien que j'avais changé; que je mentais sur certaines situations. Elle a fait ses enquêtes personnelles, et elle est aussi allée voir un avocat pour demander le divorce, car elle ne pouvait plus vivre de cette façon avec moi. J'étais violent avec les enfants, qui selon moi, m'avaient volé mon épouse. Je n'avais plus aucune affection de la part de mon épouse et de mes enfants. J'étais devenu une personne indésirable dans la maison.

Un soir, elle m'a mis devant le fait qu'elle était allée voir un avocat pour le divorce, et qu'il ne lui restait plus qu'à signer. Je lui ai dit qu'elle fasse ce qui lui semblait bon. Si elle était malheureuse avec moi, eh bien elle n'avait qu'à signer! Je ne l'en empêcherais pas. Elle n'a pas signé, et nous avons continué durant quelque temps comme pour une deuxième chance. Quelques semaines plus tard, encore une chicane dans le corridor de la maison. A la fin, j'ai dit à France: "Toi, tu ne peux rien pour moi. Il n'y a pas un psychologue, pas un docteur, personne pour m'aider. La seule personne qui puisse quelque chose pour moi, c'est LUI, au ciel." Et à ce moment, je pointais le plafond du corridor tout en indiquant Dieu au ciel. Car en fait, c'était simplement LUI qui pouvait me sortir de mes mauvaises habitudes, et aussi changer radicalement ma vie. On a fini la chicane sur ces mots.

Une semaine plus tard, une femme de l'assemblée où nous allons maintenant est venue frapper à notre porte. Mon épouse était seule, et cette dame lui a posé plusieurs questions: "si elle croyait en Dieu, si elle croyait à la vie après la mort, si elle allait au ciel après sa mort." A cette dernière question, France lui a dit NON, car selon elle il n'irait pas au ciel! La dame lui a demandé si elle était intéressée à le savoir, car c'était écrit dans la Bible. France a accepté, à la condition que toutes les réponses viennent de la Bible seulement. A travers les études faites chez nous durant les après-midi, France a été sauvée. Ceci se passait en octobre 1987. C'est là que j'ai vu un changement dans la vie de ma femme: Elle était radieuse, de bonne humeur, pleine de joie de vivre, de pardon. Je voyais que c'était relié à l'étude biblique. A certaines occasions, elle partageait avec moi des versets. Quelquefois j'écoutais; d'autres fois cela m'irritait, car elle me présentait la vérité, et je n'étais pas encore prêt à écouter cette vérité et à m'y soumettre; cela me donnait des poings dans le ventre. Mon épouse me respecta, et cessa de m'en parler. Mais j'étais dans le plan de Dieu, et Jésus s'était installé dans ma maison. Un verset dit: "Car le mari non-croyant est sanctifié par la femme, et la femme non-croyante est sanctifiée par le frère"; 1 Corinthiens 7:14. C'était vrai!

La dame nous invita à souper un samedi soir. Elle et France avaient arrangé la soirée en disant: "On ne lui parlera pas de la Bible pour ne pas l'irriter". Quand j'ai reçu l'invitation, je savais bien qu'on parlerait de la Bible, mais j'ai accepté pour connaître un peu plus les gens que mon épouse fréquentait. Le soir arriva, et nous nous sommes assis au salon. Le mari entreprit la conversation, et après cinq minutes nous n'avions plus rien à nous dire. Je pensais que la soirée allait être longue, je voyais bien qu'il ne parlait pas de la Bible. Alors je lui ai dit: "Écoute Antonio, je sais que tu aimes parler de la Bible, alors on va en parler; je te dirai ce que je pense, et toi tu me diras ce que tu penses." Je n'ai pas eu à le répéter deux fois. A partir de ce moment, il s'est installé une bonne atmosphère, et nous avons parlé tout en mangeant une bonne lasagne. On a vraiment passé une bonne soirée, mais ils ne m'ont pas convaincu. Même que lui et son épouse m'ont invité pour le culte du lendemain; j'ai refusé, disant que je n'étais pas prêt. Le Seigneur t'attend dans le détour, m'a dit Antonio. J'ai répondu que je n'étais pas pressé de prendre la courbe. La soirée finie, j'embarque dans mon auto... plus d'essence. Alors, vu qu'il était chrétien, il ne pouvait me refuser un service, en conduisant ma famille chez nous, et en passant au garage avec moi pour prendre de l'essence. Alors je sonne; il vient répondre avec son épouse. Pendant qu'il se prépare, son épouse est dans la porte les bras croisés; je la regarde: "O.K., je vais y aller demain matin!"

Depuis cette journée-là, je n'ai jamais cessé d'y aller, sauf pour le travail et les voyages extérieurs. Après quelques semaines, je me sentais à l'aise, et je croyais bien que j'étais sauvé pour l'éternité. Il y avait des baptêmes pour le 24-04-88. Le pasteur nous demanda de préparer notre confession de foi; moi, j'avais préparé de 3 à 4 pages avec des versets et tout. Le pasteur est passé à la maison, il a pris mes feuilles sans les regarder, et il s'est mis à me poser des questions sur ma foi. Je répondais, mais en même temps je n'avais plus aucune conviction de ce que je disais... je n'avais plus cette assurance de la vie éternelle. Quand il est parti, j'avais un gros point d'interrogation... Toute la soirée et toute la nuit je cherchais à comprendre pourquoi je n'avais plus cette assurance. Le matin, à mon retour du travail, je me suis assis dans mon lit et j'ai lu un livre chrétien. Je me suis dit: "Tu ne dormiras pas tant que tu n'auras pas trouvé la réponse".

Le 22-04-88 à 11h11 le matin, j'ai vu un mot: qui a allumé une lumière en moi. Ce mot m'a fait voir le blasphème de ma vie vis-à-vis de Dieu mon créateur, et la mort que je méritais pour l'éternité. Mais dans cette même lumière, j'ai vu toutes les promesses que Dieu me donnait par le sang de Jésus. Et ce mot est:  CROIS !

Oui, le sang de Jésus m'a purifié, et maintenant j'ai accès directement à Dieu le Père par le sang précieux de Jésus. Sans Jésus, je ne peux pas me rendre spirituellement au Père. Jésus dit: "Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi". ( Jean 14:6 ) Il a lavé tout mon être, Il a effacé toutes mes fautes du passé, et m'a fait devenir une nouvelle personne, une nouvelle créature, qui maintenant cherche a lui ressembler, lui mon frère et mon Dieu.

Ce que cela m'a apporté:

1- Cela a sauvé mon couple. Il était sur le point d'éclater.

2- Cela m'a fait prendre position à mon travail.

3- Cela m'a donné une nouvelle identité:
Chrétien né de nouveau.
Ambassadeur de Jésus, de Dieu. Nouvelle patrie, le ciel.


4- Ma mère a été sauvée le 04-05-1992.
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