L'endurance

Un texte de Bernard Emkeyes

Il y a toujours quelque chose que nous regrettons dans notre vie. Cela peut être un projet professionnel que nous n'avons pas mené à son terme, des études que nous avons abandonnées par faute de persévérance, une séparation amicale ou affective, voire même un éloignement de Dieu. Ce sont des occasions que nous n'avons pas su saisir ou pour lesquelles nous n'avons pas su faire ce qu'il fallait. Finalement, nous sommes passés à côté de la bénédiction de Dieu.

Dieu n'est pas le Dieu des échecs ! Le monde ne comprend pas cela et nous conduit bien souvent à abandonner. Lorsqu'un couple est sur le point de se séparer, alors que Dieu n'aime pas cela, l'entourage, au contraire, incite en disant que cela est mieux : « Tu as raison, tu ne vas pas gâcher ta vie avec ton mari ! ». Ou alors, lorsqu'un enfant parle d'abandonner ses études, certains réagissent en disant que s'il ne trouve pas sa voie dans ce domaine, il la trouvera plus tard. Mais ce sont de mauvais conseils : ils incitent toujours à choisir la solution la plus simple, celle de l'abandon, et mènent finalement à vivre des renoncements. Plus tard, ces personnes vivent dans les remords.

Le monde utilise souvent les mots de « séparation » et « abandon », mais c'est un vocabulaire qui appartient à l'ennemi ! Je vous rappelle qu'il est venu pour séparer, diviser et voler. Nous devons prendre conscience qu'il est important que nous continuions notre marche.

Dieu nous trace un chemin. Il nous donne un emploi, une famille, une Eglise et nous demande d'avancer dans la direction qu'il nous donne. Mais passé un temps, nous ne faisons plus le travail que Dieu nous demande de faire. Et cela nous conduit à faire un constat d'échec : nous sommes sortis de la bénédiction de Dieu.

Nous devons comprendre ce principe essentiel : ne pas faire ce que nous devons faire est une faute de notre part ! Il faut nous ressaisir !

Mon rôle n'est pas de me complaire avec vous, ni de vous dire : « Ce n'est pas grave si tu gâches ta vie ». Au contraire, mon devoir est de vous dire de vous ressaisir ! En tant que serviteur de Dieu, mon devoir est de vous aider à comprendre ce que Dieu attend de vous afin que vous réussissiez votre vie. Dieu vous a donné tous les ingrédients nécessaires pour que vous soyez à la tête, mais vous devez réagir afin d'aller jusqu'à la victoire.

La plus grande erreur est de stopper sa route ; alors n'abandonnez pas ! Le Seigneur vous appelle à persévérer et à continuer. Refusez les paroles des personnes qui vous disent : « Ce n'est pas grave si tu abandonnes ; après tout, ce n'est pas pour toi. Si c'est trop difficile pour toi, alors arrête. Je compatis avec tes faiblesses ». Mais Dieu est énergique ! Lorsque Jésus a rencontré la femme adultère, il n'a pas compati avec son péché ! Il lui a dit : « Va et ne pèche plus ! ». Il lui a commandé de se ressaisir et de prendre la décision de changer de vie ! C'était un ordre de sa part qui lui permettait de transformer sa vie. Nous devons vivre dans la vérité, et non pas au travers d'excuses qui nous confortent dans nos erreurs. Nous sommes le peuple de Dieu et nous devons nous emparer de la victoire.

L'élément essentiel de cette victoire est une qualité qui se perd de plus en plus de nos jours, il s'agit de l'endurance.

Persévérez jusqu'à la victoire

Daniel était un homme qui avait beaucoup de discipline dans sa vie. Etre discipliné signifie faire ce que nous devons faire, et non pas ce que nous voulons faire. Cette qualité est nécessaire pour réussir.

Il en est de même pour l'endurance, qui est, avant tout, un signe de sagesse. Notre société va à l'encontre de cela ; aujourd'hui, nous voulons tout et tout de suite. Et dès que cela devient un peu difficile, nous stoppons. Mais cela ne mène à rien sinon à l'échec. L'endurance est un élément essentiel du succès. Prenez l'exemple d'un médecin. Année après année, il a du beaucoup étudier pour finalement obtenir son diplôme. Certains ne l'ont pas eu du premier coup et ont du recommencer une année ou deux. Ils ont fait preuve de ténacité et n'ont pas abandonné. Mais à la fin, ils ont obtenu la victoire. L'endurance est nécessaire pour réussir.

L'endurance est un travail quotidien. Mais ceux qui la pratiquent en récoltent les bons fruits.

Lorsque j'étais enfant, j'avais le vertige. Et je me souviens que pendant nos cours de sport à l'école, nous allions au gymnase. Au milieu de la salle, il y avait une corde, et un des exercices que nous faisions était de grimper tout en haut. Mais moi, j'avais peur de la hauteur et je n'arrivais pas à grimper à cette corde. Alors, le soir, je racontais cela à ma mère et lui expliquais mon problème.

Un jour, le cirque est passé dans mon quartier. Et moi, avec mes yeux d'enfants, j'avais envie d'y aller pour voir les animaux, les clowns, les acrobates. Alors, j'ai demandé à ma mère de m'y accompagner, mais sa réponse a été surprenante. Elle m'a dit : « Je te paierai la place à une condition ». J'avais tellement envie d'y aller que je m'empresse de lui demander quelle était cette condition. Elle me répond : « Tu te souviens que tu m'as dit que tu avais peur de monter à la corde ? Et bien, tu vas recommencer, et lorsque tu auras réussi, alors je te paierai la place ».

Cela a été terrible. Pendant des jours, je pensais à cette corde et au cirque. Je savais qu'il restait dans mon quartier pendant un mois, et chaque jour, j'avais des copains qui y allaient et qui me racontaient comment c'était. Et moi, je rentrais chez moi en pensant à cette corde. Un matin, je prends mon courage à deux mains et je me décide à grimper jusqu'en haut. Mais au bout de trois mètres, j'ai eu la tête qui tournait et j'ai du redescendre. Le soir, j'en voulais à ma mère car je me disais qu'elle aurait pu trouver une autre condition que celle-ci.

Ma mère tenait bon et me disait : « Tant que tu n'arriveras pas en haut, tu n'auras pas ta place ». Et comme j'avais vraiment envie d'y aller, j'ai persévéré. Après cinq ou six essais, j'ai enfin réussi à grimper tout en haut, et le soir même je suis rentré, tout content, pour raconter mon exploit à ma mère. Alors, j'ai vu un sourire sur le visage de ma mère, tellement beau, tellement resplendissant, que je croyais que c'était elle-même qui avait réussi à grimper la corde. Puis, elle m'a emmené au cirque.

Cette leçon m'a fait beaucoup de bien. Il m'a fallu de l'endurance car j'ai dû essayer plusieurs fois avant de réussir. Mais je n'ai pas abandonné. Grâce à cela, j'ai eu une double victoire : j'ai vaincu ma crainte, et j'ai pu aller voir le cirque.

L'endurance est nécessaire si nous voulons réussir. Ceux qui veulent tout et tout de suite, et qui abandonnent dès que c'est trop difficile, n'arrivent à rien. Cela est valable même dans notre foi ! A des moments, nous avons l'impression que, malgré nos prières, les situations n'évoluent pas. Nous louons Dieu, et rien ne se passe. Mais il faut persévérer ! Nous pouvons rencontrer des épreuves, mais aucune ne peut résister à Dieu. Nous devons tenir fermes et continuer, même si cela est difficile.

Faites le bon choix

Dans la difficulté, je vois trop de personnes qui se découragent et qui baissent les bras, alors qu'il faut, au contraire, persévérer. Elles sont davantage des spectatrices de la foi plutôt que des conquérantes de la foi.

Nous allons maintenant regarder à une personne qui a manifesté beaucoup d'endurance dans sa vie, il s'agit de Noé. Il n'a pas simplement obéi à Dieu qui lui demandait de construire une arche, il a du persévérer durant de longues années.

26 Vois, je mets aujourd'hui devant vous la bénédiction et la malédiction : 27 la bénédiction, si vous obéissez aux commandements de l'Eternel, votre Dieu, que je vous prescris en ce jour; Lire la suite

Que nous dit ce passage ?

Nous pouvons choisir entre deux chemins : le bon et le mauvais. Nous pouvons choisir la voie de Dieu, ou la voie contraire. En tout cas, Dieu ne nous force pas. Il agit comme un gentleman. Souvent, cela nous arrangerait que Dieu nous force un peu la main afin de nous aider à faire certains choix qui sont difficiles mais bénéfiques pour nous. Mais Dieu n'agit pas ainsi, il nous laisse décider. Soit nous obéissons, soit nous désobéissons. Ces choix sont durs car il y a un combat qui se déroule en nous entre ce que nous voulons faire, et ce que Dieu nous montre.

6 L'Eternel se repentit d'avoir fait l'homme sur la terre, et il fut affligé en son coeur.

Ce passage est dur ! Dieu crée l'homme à son image, et après un certain temps, il regrette de l'avoir fait. Entre temps, l'homme a désobéi et a suivi ses propres voies. Il a péché car il s'est éloigné de Dieu. Et la Bible nous dit que le salaire du péché, c'est la mort. (Romains 6 v.23).

Ainsi, Dieu est un Dieu de jugement ; mais il est avant tout un Dieu de grâce et d'amour car il a donné son Fils Jésus-Christ pour racheter nos fautes. Dieu condamne les erreurs, mais il nous permet toujours de revenir à lui et de repartir sur un nouveau chemin. C'est le message formidable de la grâce. La croix nous offre toujours la possibilité de revenir à Dieu et de prendre une nouvelle direction. Pour moi, la grâce de Dieu a toujours été extraordinaire.

Mais de l'autre côté, il y a le jugement ! Lorsqu'une personne désobéit à Dieu, elle choisit le chemin de la malédiction et non de la bénédiction. Venir à l'église le dimanche matin n'est pas suffisant pour dire que nous obéissons à Dieu. Nous devons aussi suivre son chemin, c'est-à-dire son enseignement.

8 Mais Noé trouva grâce aux yeux de l'Eternel.

C'est la première fois qu'il nous est parlé de la grâce de Dieu dans la Bible. Pour nous qui vivons sous la nouvelle alliance, nous avons trouvé grâce aux yeux de Dieu par son Fils Jésus-Christ. Nous faisons partie du peuple de Dieu, et nous sommes tous sous sa bénédiction. Cela doit nous réjouir !

Le monde recherche sa réussite, son ambition. Il court après des richesses matérielles. Mais avec Dieu, nous sommes à la tête de richesses bien plus grandes encore car il nous bénit matériellement et spirituellement. Ainsi, nous avons le choix : soit nous accomplissons notre destinée, nous allons jusqu'au bout et nous recevons la bénédiction de Dieu, soit nous baissons les bras et nous nous arrêtons. Le chemin est long et nous devons persévérer.

9 Voici la postérité de Noé. Noé était un homme juste et intègre dans son temps; Noé marchait avec Dieu.

Noé était un homme droit. Il était fidèle à Dieu et vivait en communion avec lui. Sa relation était quotidienne avec Dieu. Vous aussi vous pouvez vivre cela, vous pouvez choisir de suivre Jésus, le bon berger. La base de la communion est la communication, et vous avez la certitude que Dieu vous entend et vous écoute lorsque vous vous adressez à lui. Et que ce soit par sa Parole, par l'Esprit Saint ou même par une personne, Dieu vous répond. Les signes de Dieu ne sont pas toujours extraordinaires ; ils sont même, bien souvent, discrets. Mais Dieu est bien présent à nos côtés.

Être en communion signifie passer du temps avec une personne. Si vous voulez entendre Dieu vous parler, vous devez passer du temps dans sa présence, vous devez veiller à votre relation. Et quand une personne me dit qu'elle n'entend jamais Dieu lui parler, je lui demande : « Passes-tu du temps dans sa présence ? Mets-tu un temps à part pour l'écouter ? ». Et bien souvent, je me rends compte que ces personnes attendent le dimanche matin pour louer Dieu et que pendant la semaine, rien ne se passe.

Notre communion avec le Seigneur doit être quotidienne ! Chaque jour, nous devons mettre un temps à part pour Dieu ! C'est tellement agréable d'être dans sa présence et de sentir son réconfort ! Comment pouvons-nous entendre Dieu si nous ne l'écoutons pas ?

Ecoutez ce que Dieu vous dit

Un jour, Dieu dit à Noé de construire une arche, alors même qu'il habitait dans un pays éloigné de la mer et dans lequel il n'avait jamais plu. De plus, Noé n'avait jamais construit de bateau ; et celui que Dieu lui demandait de construire était immense : il faisait plus de cent mètres de long. Mais Noé s'exécuta.

Le chantier n'était pas petit ! Cela lui demanda plusieurs années pendant lesquelles ses voisins se moquaient de lui : « Construire une arche dans un endroit où il n'a jamais plu, quelle folie ! ». Mais Noé continuait ; peu lui importait ce que pouvaient dire les gens, il voulait atteindre l'objectif que lui avait fixé Dieu ; c'était son seul but.

Quelle endurance ! Pendant vingt ans, il n'a pas abandonné. Il aurait pu douter, se lasser, abandonner, mais il a persévéré. Et lorsque nous lisons ce récit, nous pensons que ce fut facile pour Noé : Dieu lui a parlé, il a obéi et il a construit l'arche. Il a fait preuve de ténacité ; mais s'il a réussi, c'est parce qu'il était guidé par la pensée de Dieu. Sans cette direction, sans cette conviction, le doute nous assaille et nous décourage jusqu'à abandonner.

Quand le déluge fut terminé, que Noé et sa famille purent descendre de l'arche, la première chose qu'il fit fut de bâtir un autel pour offrir un holocauste à Dieu. La force de Noé était sa profonde relation avec l'Eternel. Il était tellement proche de Dieu qu'il ne remettait pas en question les objectifs qu'il lui fixait, même s'ils paraissaient inatteignables. Cette arche, par laquelle Dieu a sauvé l'humanité, avait une porte par laquelle Noé et sa famille devaient passer pour être sauvés du déluge. Cette porte est une préfiguration de Christ ! Il est le chemin qui mène au Père, la porte qui nous ouvre le royaume de Dieu.

Comme Noé est passé par la porte pour entrer dans l'arche, Dieu veut que nous entrions dans son royaume. Dieu invite l'humanité entière à accepter Christ et à passer la porte de son royaume. Et vous ? Êtes-vous entrés ? Avez-vous franchi cette porte ? Cela n'a pas été facile pour Noé d'entrer dans la destinée de Dieu. Mais il n'a pas laissé tomber et sa récompense fut grande et merveilleuse. Alors, si vous aussi vous traversez des difficultés, si vous aussi vous vivez une épreuve qui vous afflige, je voudrais vous dire ceci : n'abandonnez pas ! Ressaisissez-vous ! Vous êtes sous la faveur de Dieu et il vous accompagne chaque jour !

Si vous voyez un frère ou une soeur sur le point d'abandonner, allez vers lui et encouragez-le ! Ne le confortez pas dans son erreur, mais secouez-le ! Parfois, il vaut mieux être un peu secoués car cela nous remet dans le droit chemin ! Jésus a secoué la femme adultère ! Montrez à ce frère où est son erreur afin qu'il puisse rectifier sa façon d'agir et prendre un nouveau départ. Etre chrétien ne signifie pas sourire sans cesse et ne jamais rien dire de désagréable, sinon ce serait de l'hypocrisie.

Les sourires de complaisance maintiennent dans la médiocrité. Quand nous voyons une personne qui se trompe de route, nous ne devons pas avoir peur de la mettre en garde, même si cela lui est désagréable. Et nous devons aussi lui tendre la main afin de l'aider à repartir dans la bonne direction. Si vous faites l'erreur de la complaire dans cette situation, elle continuera dans son aveuglement et ne se sortira pas du mauvais chemin sur lequel elle est.

Dieu veut que nous soyons énergiques et pleins de vie. Il a un plan pour chacun de nous et son désir est que nous l'accomplissions, que nous le menions jusqu'à son terme, même si cela demande du temps ! Regardez Noé : des années pour construire cette arche, peut-être des dizaines d'années ! Autour de lui, les gens le prenaient pour un fou car ils ne comprenaient pas le but de construire un bateau dans un lieu si éloigné de la mer. Mais il ne s'est pas laissé décourager. Il aurait pu abandonner parce que c'était trop difficile ou parce que les gens le raillaient. Il aurait même pu ne pas commencer son oeuvre et rester tranquillement avec ceux de son époque, à se reposer et à jouir de la vie. Mais Dieu lui avait confié une mission !

Le point de départ était l'appel de Dieu, ce moment où Noé est mis à part du reste du monde pour servir Dieu. La finalité était la construction d'une arche pour sauver l'humanité. Mais entre ces deux moments, la route est longue et difficile.

Sachez que sur la route de Dieu, vous trouverez des obstacles : des personnes qui ne seront pas d'accord avec vous, des séparations, des critiques. Si vous n'êtes pas vigilants, ces évènements peuvent vous déstabiliser et vous faire abandonner.

Cela demande plus d'efforts de suivre Dieu que de rester dans le monde, mais ce sont deux chemins qui s'offrent à nous : celui de la bénédiction et celui de la malédiction. Suivre Dieu, c'est marcher dans la bénédiction. Rester dans le monde, c'est vivre loin de Dieu, donc dans la malédiction. Bien évidemment, Dieu désire que nous le suivions. Et quand nous faisons ce choix, il nous donne la force nécessaire pour accomplir sa volonté.

N'oubliez pas ce que dit ce proverbe : les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Ce ne sont pas ceux qui vous conseilleront de stopper votre route qui devront en supporter les conséquences. Si vous abandonnez, c'est vous qui devrez ensuite porter le poids de votre décision et non pas ceux qui vous l'ont conseillé.

A l'inverse, plus une personne vous demandera de faire des efforts, vous dira des choses qui ne vous plaisent pas, et plus elle participera à l'édification de votre vie. Vos véritables amis ne sont pas ceux qui s'assiéront avec vous pour pleurer ; ce sont ceux qui d'une main vous tendent un mouchoir pour essuyer vos larmes et de l'autre vous tirent de votre marasme pour vous faire avancer. Ils vous secouent pour vous faire aller de l'avant ! Ils vous remuent pour que vous portiez du fruit. Le véritable ami n'est pas celui qui est toujours d'accord avec vous, mais celui qui vous dira sincèrement lorsque vous agissez mal ou que vous êtes sur une mauvaise voie.

Dieu nous montre toujours lorsque nous empruntons la mauvaise voie. Mais ensuite, il nous laisse le choix entre le chemin de la vie et celui de la mort. Le chemin de la vie est certes plus difficile et demande de la persévérance et des efforts. Mais la récompense de Dieu est immense. C'est un choix qui appartient à chacun, individuellement.

Prière : Merci Seigneur pour ta Parole qui donne la vie. Qu'elle puisse, aujourd'hui toucher les coeurs. Tu es un Dieu merveilleux et tes plans pour notre vie sont bons. Nous savons que le chemin est difficile et qu'il demande beaucoup d'endurance et de persévérance. Que ce soit dans le travail, dans les études ou dans les relations, rien n'est facile dans la vie ; si nous voulons réussir, il y a un prix à payer. Même pour marcher dans tes voies, nous devons être endurants pour voir ta gloire se manifester. L'endurance est une clé de la réussite. Mais, beaucoup abandonnent et baissent les bras. Ils se découragent et finissent par ne plus rien faire, ils passent à côté de la vie. Seigneur, je te demande de visiter tes enfants. De la même manière que tu as donné à Noé de l'endurance pour construire l'arche, aide-nous à être endurants et tenaces. Donne-nous l'envie de nous battre et de réussir. Par Jésus, nous avons la victoire dans toutes nos épreuves ; tu nous demandes juste de persévérer.
Au Nom de Jésus, Amen.

Photo de Bernard Emkeyes
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